samedi 1 février 2014

Melbourne


Nous débarquons à Melbourne alors qu'une vague de chaleur frappe la côte sud du pays, avec comme conséquence une étonnante invasion de mouches dans tout l'état de Victoria.


Melbourne a beau être la plus grande ville d'Australie, comme ailleurs dans le pays, l'ambiance est super décontractée et à 18h, tout est fermé ! Il s'agit, en revanche, d'une ville à l'architecture moderne originale parfois, avec un réseau de tramway développé et en partie gratuit, chose que nous aurons compris un peu tard !


Nous ne sommes pas mécontents de constater que les Melbourniens (?) ne sont pas les Sydneysiens (??), et nous avons ici (un peu) moins l'impression de ressembler à une famille de lilliputiens ! Les portions de yaourt doivent y être plus petites …

Les musés gratuits n'étant pas légions, et l'expo photos que nous avions repérée fermée (!), le CNED occupera une certaine partie du séjour d'Apo, pendant que Magali et Simon suivront de façon assidue, voire obsessionnelle, les match de tennis à la télé en attendant le jour J .


Cf le reportage de Simon pour plus de détail sur ce jour à l'Australian Open qui a en partie structuré notre voyage autour du monde en figeant notre passage à Melbourne, et duquel nous rentrons avec une multitude de balles et autographes (dont celui de Monfils sur la casquette de Simon et un gribouillis de la chinoise Zengh sur une balle d'entrainement après 3/4 d'heure d'attente au bord du court sous 44°C par Agathe ; la prochaine fois, on demandera à Béren ou Eno de nous signer une balle, ils feront certainement beaucoup mieux …!).

Notre séjour australien se termine donc tranquillement, avec une légère frustration d'avoir vu si peu de cet immense pays qui ne nous emballait pas à priori, mais s'est finalement révélé d'une incroyable richesse. L'Australie nous a énormément plu, ainsi que ses habitants !

Dernière étape avec le train de nuit qui nous ramène à Sydney, d'où nous passons la soirée à compter les kangourous (qui remplacent ici nos vaches au passage des trains). Petit stress avec l'heure de retard à l'arrivée en gare, alors que nous avions une correspondance hyper tendue pour l'aéroport. Mais grâce au « keep cool » australien, nous arriverons à temps pour le décollage, avec une forte envie de revenir explorer le centre de l'île et ses autres rivages. Atterrisage quelques heures plus tard à Christchurch, Nouvelle-Zélande (où l'accès au wifi se fait rare ; on vous fait donc patienter pour la suite...).